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Joseph Haydn
(1732-1809)

Oh, che orrore ! (L’Anima del Filosofo « Orfeo ed Euridice », Hob XXVIII:13 - Scène ultime)

 

 

Les Bacchantes, après avoir empoisonné Orphée décidément bien trop réticent, veulent se déchirer son cadavre. Mais une tempête s’abat sur elles, emportant le corps d’Orphée jusqu’au rivage de l’île de Lesbos.
« Oh, quelle horreur ! Quelle épouvante ! Oh, quels éclairs ! Quel tonnerre ! Cent furies s’agitent en mon sein ; nous sommes proches du naufrage. »

 

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