Antonio Vivaldi
(1678-1741)
Cantate « Cessate, omai cessate », RV 684
Difficile de ne pas frissonner à l’écoute de cette cantate : « Ah ! Quel malheur me vouera à jamais l’ingrate Dorilla. Ah ! Sa pitié diminue autant qu’augmentent mes larmes ». |
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