François Couperin
(1668-1733)
« Les Baricades mistérieuses » 2e Livre, 6e Ordre
Mais d’où vient ce titre énigmatique pour une pièce de Clavecin, ainsi orthographié par Couperin ? Certains voient dans la partition de ce rondeau des lignes musicales qui s’enchevêtrent, figurant ainsi des barricades que les mains du claveciniste élaborent. Jean-Marie Monod imagine plutôt le battement des cils d’une femme : « les cils, ces barricades qui protègent les mystères de l’âme… ». |
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