Franz Schubert
(1797-1828)
Le Pâtre sur le rocher, D 965
Le dernier Lied composé par Schubert, mais son premier à introduire la Clarinette dans l’accompagnement, en écho au chant de la soprano. Naturellement bucolique, instinctivement mélancolique, cet ultime Hymne au printemps résonne comme un nouvel espoir ; Schubert n’entreprenait-il pas l’apprentissage de la fugue à la fin de sa trop courte vie ? |