Schubert, dont l’œuvre fut si méconnue de
son vivant,
composa des trésors d’une richesse mélodique étonnante.
Par de suaves changements
de tonalités,
il sut exhaler
le paradoxe des sentiments :
triste destinée et beauté éphémère,
bonheur fugace et malheur tenace.
« Chaque matin ne m’annonce que le retour
du chagrin de la veille. » |
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Trio à Cordes, D 581
Sonate pour Arpeggione, D 821
Triosatz : Adagio « Nocturne », D 897
Trio pour Piano opus 99, D 898
Trio pour Piano opus 100, D 929
Fantaisie pour Piano et Violon, D 934
Quintette à Cordes, opus posthume 163, D 956
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