La pauvre Iphigénie connut
bien des malheurs
du fait de l’implacable malédiction des Tantales.
« Que
nos mains saintement barbares
N’ensanglantent plus vos autels ;
Rendez ces peuples plus avares
Du sang des malheureux mortels. »
Livret de Nicolas-François Guillard - 1779 |