accueil domaines musicaux périodes musicales compositeurs nouveautés répertoire musique classique question liens

filet

 

mozart

« Pour moi, c’est l’opéra qui compte avant tout. »

extraits de vie et de musique : Wolfgang Amadeus Mozart

filet

Wolfgang Gottlieb Mozart est né le 27 janvier 1756, à Salzbourg, alors ville bavaroise, principauté ecclésiastique catholique d’Allemagne (elle ne sera rattachée au nouvel empire d’Autriche qu’en 1816). Il est le septième enfant (mais cinq moururent en bas âge) d’Anna Maria Pertl et de Léopold Mozart, musicien à la cour.

Dès qu’il eut 4 ans, son père commença à lui enseigner le clavecin puis le violon, tout comme il l’avait déjà fait pour sa sœur aînée Marianne, dite Nannerl (1751-1829). Mozart composa sa première œuvre, le Menuet K 2, en janvier 1762, avant même d’apprendre à écrire et à compter (son père étant son unique professeur, il ne fréquenta jamais l’école). Léopold s’avéra un excellent pédagogue doublé d’un redoutable logisticien, soucieux de fructifier les talents de ses enfants virtuoses (puis de Wolfgang seul, en tant que compositeur), et ceci dans les plus grandes cours d’Europe.

De septembre 1762 à janvier 1763, premier voyage familial pour Vienne où Nannerl et Wolfgang donnèrent des concerts auprès de l’empereur d’Allemagne François.

Nouveau départ en juin 1763 pour un voyage de trois années vers les cours royales de Belgique, de France et d’Angleterre. À Paris, Mozart rencontra Schobert, alors claveciniste chez le prince de Conti. Arrivé à Londres en avril 1764, il y découvrit la musique de Haendel, mort 5 ans plus tôt. Surtout, il rencontra Johann Christian Bach qui fut, lors de ce séjour, son conseiller pour l’opéra italien. Retour à Paris en mai 1766 puis à Salzbourg fin novembre. Dès le mois de septembre 1767, nouveau départ pour Vienne où Mozart composa ses premiers opéras La Finta Semplice, K 51, suivi de Bastien Bastienne, K 50.

Il passa l’année 1769 à Salzbourg en tant que Konzertmeister (non rémunéré du fait de ses congés…).

Le 23 janvier 1770, Léopold et Wolfgang arrivèrent à Milan où ils rencontrèrent Giovanni Battista Sammartini et Piccini. C’est aussi lors de ce premier voyage en Italie que Mozart italianisa son deuxième prénom Gottlieb en Amadeo. À Lodi, Mozart composa son premier Quatuor à Cordes K 80, tandis qu’à Bologne il rencontra le Padre Martini (1706-1784). En avril, à Rome, il entendit le Miserere d’Allegri en présence du pape Clément XIV. En juillet, il retourna à Bologne pour suivre quotidiennement les cours du Padre Martini.

Retour à Salzbourg le 28 mars 1771, mais en août, nouveau départ pour Milan, suite à la commande d’une sérénade Ascianio in Alba, K 111, pour le mariage de l’archiduc Ferdinand. Retour en décembre 1771 à Salzbourg pour l’élection d’un nouveau prince archiduc : Hieronymus Colloredo.

Troisième départ vers l’Italie fin octobre 1772, suite à la commande passée lors de son précédent séjour à Milan pour un opéra Lucio Silla, K 135. Retour en mars 1773 à Salzbourg où il restera jusqu’en 1777 asservi à exercer son service à la cour du « tyran éclairé » Colloredo, avant de partir pour Paris via Mannheim, avec sa mère

Le catalogue chronologique des œuvres de Mozart a été établi par Ludwig von Köchel (1800-1877).

 1775

1777

1778

 

 

 

1783

 

1785

 

 

 

1786

 

 

 

1787

 

 

1788

1790

 

1791

 

 

 

 

 

 

Sonate n° 6, K 284

Sonate n° 7, K 309

Sonate n° 8, K 310

Sonate n° 11 « Alla turca », K 331

Sonate n° 12, K 332

Sonate n° 13, K 333

Quatuor à cordes n° 15,  K 421

Messe en ut mineur, K 427

Quatuor à cordes n° 18,  K 464

Quatuor à cordes n° 19, K 465

Concerto pour Piano n° 21, K 467

Quatuor pour Piano n° 1, K 478

Concerto pour Piano n° 24, K 491

Les Noces de Figaro, Opera Buffa  K 492

Quatuor pour Piano n° 2,  K 493

Trio pour Piano n° 4,  K 502

Quintette à cordes n° 4,  K 515

Quintette à cordes n° 5,  K 516

Sonate pour Violon n° 42,  K 526

Sonate n°16 « Facile », K 545

Cosi fan tutte, Opera Buffa  K 588

Quintette à cordes n° 6,  K 593

Quintette à cordes n° 7,  K 614

La Flûte Enchantée, Grand Opéra  K 620

Requiem, K 626

 

 

 

Opus100

filet